(nouvelle) épître adriatique, 1. “Dédicace infinie à l'ode médiane, 1”
] Se forma — d’abord —
le vertical flocon
bleu
volcanique
neigeux de nonchalance,
natif
des austères Cordillères
australes
hiératiques de glaces pluvieuses
&mornes,
pris
par soudaineté retombée des temps lourds
en son inexorable
& sporadique retraite
aérienne — plongée héroïque
& irrémédiable
,
S’abandonne — encore jamais désenchanté —
un flocon
nu,
ermite polaire,
exacerbé de bravoure vaine,
reposant
sur l’arête veuve
d’un angle du temps reconverti
en immédiateté terrestre
,
S’épuise — alors — un flocon
mortel
de matin tardif —
infatigable, persévérant
en sa pragmatique tentative d’une durée
d’ambre soyeuse,
clandestin d’une légèreté
au goût déçu de sa propre chute,
divaguant,
vers des bruines de ruines
indécentes&dévastées&jaillies
d’un siècle inventif de barbares tremblements
,
un flocon
à l’aiguë conscience
de l’ampleur médiane
des jours et des nuits
bleu
volcanique
neigeux de nonchalance,
natif
des austères Cordillères
australes
hiératiques de glaces pluvieuses
&mornes,
pris
par soudaineté retombée des temps lourds
en son inexorable
& sporadique retraite
aérienne — plongée héroïque
& irrémédiable
,
S’abandonne — encore jamais désenchanté —
un flocon
nu,
ermite polaire,
exacerbé de bravoure vaine,
reposant
sur l’arête veuve
d’un angle du temps reconverti
en immédiateté terrestre
,
S’épuise — alors — un flocon
mortel
de matin tardif —
infatigable, persévérant
en sa pragmatique tentative d’une durée
d’ambre soyeuse,
clandestin d’une légèreté
au goût déçu de sa propre chute,
divaguant,
vers des bruines de ruines
indécentes&dévastées&jaillies
d’un siècle inventif de barbares tremblements
,
un flocon
à l’aiguë conscience
de l’ampleur médiane
des jours et des nuits
d’une sphère gratuite,
concassée & perpétuelle
&condamnée
& solitaire,
à la dérive atmosphérique &
cosmique
&
obscure
& méthodique
— colloque
d’une expectative finitude
,
&
le flocon—
Inadvertance d’un narrateur temporel,
interrogatif,
enquêteur des territoires suppliciés
&
ravisseur d’espaces subcélestes
— tendre & superbe galérien du poème geôlier
& magmatique
&
soliloque des continents d’emprunt—
trace les méandres
involontaires de sa physique intérieure
accomplit son lent retour
vers les étendues terrestres de son regain liquide
court
— désormais —
vers les nuits intimes & unies
résidences communes & messagères
des terres humaines
concassée & perpétuelle
&condamnée
& solitaire,
à la dérive atmosphérique &
cosmique
&
obscure
& méthodique
— colloque
d’une expectative finitude
,
&
le flocon—
Inadvertance d’un narrateur temporel,
interrogatif,
enquêteur des territoires suppliciés
&
ravisseur d’espaces subcélestes
— tendre & superbe galérien du poème geôlier
& magmatique
&
soliloque des continents d’emprunt—
trace les méandres
involontaires de sa physique intérieure
accomplit son lent retour
vers les étendues terrestres de son regain liquide
court
— désormais —
vers les nuits intimes & unies
résidences communes & messagères
des terres humaines
,
[..........nuit mandée depuis l’écume généreuse des hémisphères diurnes,
] S’épuise la nuit suffoquée de lointaine brièveté ,
suffoquée de coalisée épaisseur
le verbe — glaise enlacée des vivants et des morts
écarte,
] S’épuise la nuit suffoquée de lointaine brièveté ,
suffoquée de coalisée épaisseur
le verbe — glaise enlacée des vivants et des morts
écarte,
érode
corrode
déborde
dévore
les doutes anciens,cycliques
& exile
les hypothèses pierreuses,
glacières,
nauséeuses,
enracinées,
s’emploie,
se remploie,
se ploie,
se tourne, se retourne,
se détourne, se renverse,
se déverse,
s’inverse,
entre les éléments,
grevés,
calcifiés des étreintes
des mémoires d’écaille de l’instant commun
ingurgité,
se jauge —
se cabre —
entre les dettes d’opalescence,
s’engouffre —
se glisse —
décoche le désir humain,
déborde
dévore
les doutes anciens,cycliques
& exile
les hypothèses pierreuses,
glacières,
nauséeuses,
enracinées,
s’emploie,
se remploie,
se ploie,
se tourne, se retourne,
se détourne, se renverse,
se déverse,
s’inverse,
entre les éléments,
grevés,
calcifiés des étreintes
des mémoires d’écaille de l’instant commun
ingurgité,
se jauge —
se cabre —
entre les dettes d’opalescence,
s’engouffre —
se glisse —
décoche le désir humain,
convainc & nutrit
les sexes entre,
extrêmes,dépassés,
avant
le sexe tempéré des siècles installés,
se tord
se retord,
se détord —
se place,
se tient,
à force d’ombres remembrées
& de dépouilles héritières,
incisées,décapées,
émaciées de cendres fraîches
diffuses ,
de cendres hostiles,
pillées,blessées,
attristées,charriées,
déracinées, loin —
Mémorial des généalogies du verbe de certitude,
se vêt
d’une pulsion ventrale
vocale sonore
inédite&répétée
venue d’une gestation choisie
& étrangère,
&
S’épuise la nuit constante,
consentante,
négociée ,
accessible au noir d’extinction des vies
contractées,innommées,présentes,
confessée à l’écho bleu crispé
des infinités archaïques
des armes déposées
&
des colères nues&taciturnes&lucides
&
S’épuise la nuit abordable,
éteinte,rapide,
greffée aux pigments vibratoires
enclos
sous l’ouïe méridienne amniotique des sommes
&des genèses humaines,
Nuit pleine,
revenue de son lointain mandat d’obscur & de sommeils guerriers
prête
— entre —
au dire sourcier ,
[ entre ] , le verbe somnambule
refoule, fragile & net
décuple & confie
succombe tacite & confident
aux ogres du pacte terrestre
oscille — gravitation déchargée
récapitule & renie
toute contrainte, toute servitude,
toute coercition, tout abus,
toute torture
ouvre une caresse du monde, sillon
inaliénable d’un contrat ductile —
Envers de la tradition orpheline,
à côté du neuf impénitent, cloîtré en sa seconde pendue,
comprimée de dévouement au temps qui la soumet,
restreinte
&
immodeste en son saisissement —
Évidement de l’option native,
] entre [ s’éclaircit
les tendres libertés accouchées,
le verbe est seyant — entre—
éteinte,rapide,
greffée aux pigments vibratoires
enclos
sous l’ouïe méridienne amniotique des sommes
&des genèses humaines,
Nuit pleine,
revenue de son lointain mandat d’obscur & de sommeils guerriers
prête
— entre —
au dire sourcier ,
[ entre ] , le verbe somnambule
refoule, fragile & net
décuple & confie
succombe tacite & confident
aux ogres du pacte terrestre
oscille — gravitation déchargée
récapitule & renie
toute contrainte, toute servitude,
toute coercition, tout abus,
toute torture
ouvre une caresse du monde, sillon
inaliénable d’un contrat ductile —
Envers de la tradition orpheline,
à côté du neuf impénitent, cloîtré en sa seconde pendue,
comprimée de dévouement au temps qui la soumet,
restreinte
&
immodeste en son saisissement —
Évidement de l’option native,
] entre [ s’éclaircit
les tendres libertés accouchées,
le verbe est seyant — entre—
abreuve &
dégorge les aplats roides,secs
monolithes
& les fresques rongées délavées arasées
stratèges
du globe innocent,utérin
chronique(s) de la terre délaissée,
remisée,
pénétrée,
consolée,dépeinte
] réelle
Croire au verbe,
désapprendre le verbe arbitraire —
Ourdir des mondes ondoyeux,
cela est son choix
— au contour oblique d’un vers occasionnel —
entre ] [
le seuil d’infime,
cela portera
le nom rassurant,
de
poème,
ou
chant
or, verse
ou verset
peut-être codex
ou
— venu de collines vertes inertes —
zibaldone
peut-être cantique ou épître
ou psaume
ou ode — ode élémentaire&
ode à la traverse des quotidiens
&
ode médiane d’un sommeil heuristique ,
ou complainte
— ou sans titre —
dégorge les aplats roides,secs
monolithes
& les fresques rongées délavées arasées
stratèges
du globe innocent,utérin
chronique(s) de la terre délaissée,
remisée,
pénétrée,
consolée,dépeinte
] réelle
Croire au verbe,
désapprendre le verbe arbitraire —
Ourdir des mondes ondoyeux,
cela est son choix
— au contour oblique d’un vers occasionnel —
entre ] [
le seuil d’infime,
cela portera
le nom rassurant,
de
poème,
ou
chant
or, verse
ou verset
peut-être codex
ou
— venu de collines vertes inertes —
zibaldone
peut-être cantique ou épître
ou psaume
ou ode — ode élémentaire&
ode à la traverse des quotidiens
&
ode médiane d’un sommeil heuristique ,
ou complainte
— ou sans titre —
o canto. oU lied. Ou sonG
ou ljòd
ou sonnet ou QUATRAIN
ou ballade
ou hymne
& élégie
récit,
ou iliade, nouvelle
contre
livre, dénommé,
moulé du verbe des petits prophètes,
don PERDU d’une parole au monde
oder
infirme fragment spéculatif
facétieux Ou fragment venteux,messager
dans la gorge pensive,
ironique
ou fragment opulent,maigre,
dialectique
ou épigramme vertueuse,
onduleuse
& ,
dédicataire d’une gloire vacante,
à crédit
ou méditation dévouée,
muette&effusive,
en un précipité métaphysique retrouvé,
ébréchée , des glas discommuns d’alerte des temps éprouvés, malades
ou idylle, de réminiscences
— contre prologue,
ou préface, ou dialogue, ou exorde
או
lamentation de l’innocence inachevéeֹ
ou lettre,
absente, absentée,
de toute géographie passée traversée
ou ljòd
ou sonnet ou QUATRAIN
ou ballade
ou hymne
& élégie
récit,
ou iliade, nouvelle
contre
livre, dénommé,
moulé du verbe des petits prophètes,
don PERDU d’une parole au monde
oder
infirme fragment spéculatif
facétieux Ou fragment venteux,messager
dans la gorge pensive,
ironique
ou fragment opulent,maigre,
dialectique
ou épigramme vertueuse,
onduleuse
& ,
dédicataire d’une gloire vacante,
à crédit
ou méditation dévouée,
muette&effusive,
en un précipité métaphysique retrouvé,
ébréchée , des glas discommuns d’alerte des temps éprouvés, malades
ou idylle, de réminiscences
— contre prologue,
ou préface, ou dialogue, ou exorde
או
lamentation de l’innocence inachevéeֹ
ou lettre,
absente, absentée,
de toute géographie passée traversée
de vides nécessaires,de blancs fructueux
impondérée,
retirée du temps d’humanité,
hantée,
désemparée,
atrophiée d’être
dans le moins d’une parole interdite,
semblable
à la vue virtuose de sa générosité plastique
contre l’engoncement du commencement premier,
décrété ,
plasmodié ,
semblable au lâcher végétal,
monoïque,proliférant —
Lettre inversée,
— inaliénable d’une écriture perdue
&vivante&revenue&clamée —
inquiète de sa gravure effleurée,
figée,creusée,
coulée dans l’âcre mobile de l’air
d’une feuille hôte,mineure
&puissante
abdiquant la loquacité flasque d’une liberté
suspecte&malléable&inconséquente
or,
first line — a slanded queer verse
or, preserved & loose
&linked& sewed
fascicle
ou mAniFestE révolu , acéphale
ou hommage vaillant — altération laiteuse —
ou romance ivre traquée versus
romancero general, assassiné
ou liturgie d’automne amer
ou subtile adresse d’amitié
oU épopée vaine
&RÉPARATRICE
impondérée,
retirée du temps d’humanité,
hantée,
désemparée,
atrophiée d’être
dans le moins d’une parole interdite,
semblable
à la vue virtuose de sa générosité plastique
contre l’engoncement du commencement premier,
décrété ,
plasmodié ,
semblable au lâcher végétal,
monoïque,proliférant —
Lettre inversée,
— inaliénable d’une écriture perdue
&vivante&revenue&clamée —
inquiète de sa gravure effleurée,
figée,creusée,
coulée dans l’âcre mobile de l’air
d’une feuille hôte,mineure
&puissante
abdiquant la loquacité flasque d’une liberté
suspecte&malléable&inconséquente
or,
first line — a slanded queer verse
or, preserved & loose
&linked& sewed
fascicle
ou mAniFestE révolu , acéphale
ou hommage vaillant — altération laiteuse —
ou romance ivre traquée versus
romancero general, assassiné
ou liturgie d’automne amer
ou subtile adresse d’amitié
oU épopée vaine
&RÉPARATRICE
ou dissidente
contre rapsodie harmonique,
insatiable&minimale
ou enquête, stoïque,
convulsive , inconsolable,
confiante , impériale
lointaine&proche
d’un flocon d’infaillible pulvérisé de déchirures
cosmopolite de l’inlassable
& façonnée par l’argile du détail
et d’une conspiration du réel dérobée aux manteaux intermédiaires
&
aux noces élidées des incomplets vestiges
dévorés des fleuves urgents d’Orient —
conteurs de vies ténues ,
AD REQUIEM
requiem artériel
des choses et des noms, pauvres,modestes
rares,
résidant dans le limon d’écueils déments
d’une bouche fouettée de souffle immense d’hérésie,
de refus des fins,
d’une émeute de larmes enflées d’une vérité écourtée d’impassible
& d’une main ouverte
ou cantos,
ou, en tout dérochement nécessaire,
redit,répliqué
congédié de la renonciation,
symbiotique
dans les langues d’une circonférence
audible
égalitaire,
siglé d’un souple principe de pluriel terrestre,
contre rapsodie harmonique,
insatiable&minimale
ou enquête, stoïque,
convulsive , inconsolable,
confiante , impériale
lointaine&proche
d’un flocon d’infaillible pulvérisé de déchirures
cosmopolite de l’inlassable
& façonnée par l’argile du détail
et d’une conspiration du réel dérobée aux manteaux intermédiaires
&
aux noces élidées des incomplets vestiges
dévorés des fleuves urgents d’Orient —
conteurs de vies ténues ,
AD REQUIEM
requiem artériel
des choses et des noms, pauvres,modestes
rares,
résidant dans le limon d’écueils déments
d’une bouche fouettée de souffle immense d’hérésie,
de refus des fins,
d’une émeute de larmes enflées d’une vérité écourtée d’impassible
& d’une main ouverte
ou cantos,
ou, en tout dérochement nécessaire,
redit,répliqué
congédié de la renonciation,
symbiotique
dans les langues d’une circonférence
audible
égalitaire,
siglé d’un souple principe de pluriel terrestre,
verbe
,
et la terre, en sa parcellaire fortune rotonde,
entre les océans archéologiques —
entre les mers
volatiles,oublieuses, bosselées —
dépiautera les stèles élongées,
stériles
& minutieuses
des extradés confins de neige
arctiques,antarctiques
hirsutes de fontes stridentes
volages,fantasques,terrifiées,
cotonneuses,
brossées de gel rose corpusculaire
glorifié de givre d’étain
,
des adriatiques confins de vagues
compressées des gains d’émeraude enfantine,
massées d’or
gris sismique bulbé
sous l’intermittence hivernale,
taiseuses,molles,
algueuses,amoureuses,
ligamentaires d’un fait solaire
relaté,
unique de rondeur céleste diurne parmi les monts de régularité
piloté
par la langueur lente&
laborieuse&déserte
&spéculaire &continue
d’une journée portuaire
&peschereccia
,
des statiques confins de pierres touffues
marbreuses,filandreuses,veineuses
des larges&les
baies frileuses, emphatique noir glacé —
entre les océans archéologiques —
entre les mers
volatiles,oublieuses, bosselées —
dépiautera les stèles élongées,
stériles
& minutieuses
des extradés confins de neige
arctiques,antarctiques
hirsutes de fontes stridentes
volages,fantasques,terrifiées,
cotonneuses,
brossées de gel rose corpusculaire
glorifié de givre d’étain
,
des adriatiques confins de vagues
compressées des gains d’émeraude enfantine,
massées d’or
gris sismique bulbé
sous l’intermittence hivernale,
taiseuses,molles,
algueuses,amoureuses,
ligamentaires d’un fait solaire
relaté,
unique de rondeur céleste diurne parmi les monts de régularité
piloté
par la langueur lente&
laborieuse&déserte
&spéculaire &continue
d’une journée portuaire
&peschereccia
,
des statiques confins de pierres touffues
marbreuses,filandreuses,veineuses
des larges&les
baies frileuses, emphatique noir glacé —
sombres de remous outrés de blanc polaire,
abruptes
&
inondées des mers
Nordiques lineuses,solides,
couplées à une tenace beauté
boréale
aveugle,observable,
moléculaire en son front lumineux,
courtisan —
immodérée
,
des expérimentés confins
des ailes mortelles
& liquides des phalènes vaincues
des ambitieuses nuits
hémisphériques
des monts désert ,
et la terre maintenue
— entre tous les actes de finitude —
délogera,
les confins noirs des rafles du temps,
Celui qui se nomme poème recrute
les tissages et les
années de la terre
récolte
et rallie
les sinuosités & les rivalités
des entrelacs des instants perdus
et déborde
les récolements hantés
abruptes
&
inondées des mers
Nordiques lineuses,solides,
couplées à une tenace beauté
boréale
aveugle,observable,
moléculaire en son front lumineux,
courtisan —
immodérée
,
des expérimentés confins
des ailes mortelles
& liquides des phalènes vaincues
des ambitieuses nuits
hémisphériques
des monts désert ,
et la terre maintenue
— entre tous les actes de finitude —
délogera,
les confins noirs des rafles du temps,
Celui qui se nomme poème recrute
les tissages et les
années de la terre
récolte
et rallie
les sinuosités & les rivalités
des entrelacs des instants perdus
et déborde
les récolements hantés
des couches océaniques inventoriées,
écloses de la vague mandée et revenue,
à la mesure des nuits métissées
de regrets & de durées mendiantes
épuisées d’intense de mort,
septentrionaux
&de sables roses recouverts
d’éclaboussures d’équateurs,
rides&ridules marines
fermées d’effrois&détendues d’attentes,
— en retrouvailles d’espaces
— en marges prises
subverties —
&scellant
,des BORDURES dépositrices
stupéfaites
d’ouvertures humaines
&
abondant
,des reliures inespérées
écloses de la vague mandée et revenue,
à la mesure des nuits métissées
de regrets & de durées mendiantes
épuisées d’intense de mort,
septentrionaux
&de sables roses recouverts
d’éclaboussures d’équateurs,
rides&ridules marines
fermées d’effrois&détendues d’attentes,
— en retrouvailles d’espaces
— en marges prises
subverties —
&scellant
,des BORDURES dépositrices
stupéfaites
d’ouvertures humaines
&
abondant
,des reliures inespérées
&
CONFIER,
À
L'INCERTAIN AGILE & VIVANT
,AVOUER,
entre,
le réel QUÊTEUR
, dédier
maintenant
— voir,
L'INCONCEVABLE
confidence,
et puis
entre [
PROSCRIRE
l’inaccessible repartir
[ entre ]
À
L'INCERTAIN AGILE & VIVANT
,AVOUER,
entre,
le réel QUÊTEUR
, dédier
maintenant
— voir,
L'INCONCEVABLE
confidence,
et puis
entre [
PROSCRIRE
l’inaccessible repartir
[ entre ]
In lost (adriatic) journey cantos (1993-2025,&), The Contemporary Erratum Press, en cours.
Commentaires
Enregistrer un commentaire